Des pouilleux
C'est comme ça que la "maire" Hidalgo a conspué ce matin les Parisiens qui n'étaient plus d'accord avec ses imbécillités récurrentes
Un livre vient de sortir, dont j'ai pu entendre lire à la radio quelques bonne pages, il s'appelle Notre Drame de Paris, c'est tout à fait ça
Déjà, du temps de notre bonne maire Bertrand, la ville s'était endettée sérieusement, mais avec cette folle, il parait qu'on atteint plus de 4 milliards, un beurre !
D'autant que du temps de Jean Tibéri, accusé, conspué, vilipendé, a son départ, il n'y avait aucun endettement
Plus de 10 000 fonctionnaires de plus depuis Bertrand, il faut faire de " bons" électeurs
Et malgré les dépenses somptuaires et somptueuses, les fêtes du Ramadan avec des buffets dignent des milles et une nuits , les nuits blanches, les " 104 " gouffres à fric, j'en passe et bien d'autres , Paris est triste, sale et à part les fêtes ethniques du vivre-ensemble, est d'un ennui mortel
Il lui reste encore des électeurs bobos-merdos- socialos à tous crins, ceux du marais, ceux des quartiers arrosés de subventions, mais ça se réduit comme peau de chagrin
Il faut naturaliser à tour de bras, faire des cérémonies d'accueil pour les heureux élus qui vont pouvoir voter aux prochaines, à grands coups de photos dans le journal de la ville mais ça sent tout de même la fronde
En particuliers du côté des automobilistes bloqués par les quais fermés, et par les bouchons " artificiels" crées du côté de Boulogne pour encore en rajouter sur la circulation
Il parait même qu'elle n'est pas en odeur de sainteté du côté de l'Elysée, ayant choisi Hamon pour poulain et que Jupiter lui préparerait un chien de son chien
Et il se dit que même Bertrand trouve qu'elle pousse un peu dans son idéologie furieuse, lui qui pourtant, sait de quoi il parle
Prétentieuse, sans éducation, mauvaise comme une gale, se prenant pour une reine, ( on se souvient de son attitude lors de la visite de la Reine Elisabeth ) elle a oublié d'où elle sort et ce qu'elle doit au pays qui l'a accueillie un jour, c'est comme tous les parvenus, une fois qu'ils pètent dans la soie sous les plafonds dorés de la République aux frais du contribuable
En tous les cas, en tant que pouilleuse, je la méprise souverainement et je souhaite vivement qu'elle retourne à sa médiocrité dont on aurait jamais dû la sortir