Comme disait ma mémé, " pour le foin dans le râtelier, les ânes se battent "
Nous en avons un exemple en ce moment
Il se dit dans les milieux biens informés que le torchon brûlerait au plus haut niveau et qu'un changement de gouvernement ne serait pas impossible
Bon, bien sûr, nous autres, gens de peu d'importance et sans dents réunis, à vrai dire ça ne changerait pas grand chose à nos vies
Sauf que .....
L'on voit pointer les anciens bouffeurs de gamelles , ceux que Macron avait dégagé avec un certain dédain et qui n'ont pas tellement digéré d'être ainsi remerciés comme de vulgaires larbins
Et que les voix s'élèvent, celle de l'inénarrable Ségolène la Royale, qui revenue des pôles où même les pingouins ne la supportaient plus, celle de Valls revenu de l'Ibérie où il avait richement convolé mais s'était fait éjecté comme un malpropre par les catalans pas idiots et de quelques autres tout aussi nuisibles
On parle même de sortir Jospin de son ile et sa catalepsie et de trouver le bistrot où la grosse Aubry voit le résultat de ses 35 heures au fond d'un Picon-bière et sans compter le grand génie du scooter qui croit encore en son avenir politique caché dernière les fesses de sa dernière scandaleuse, on peut dire qu'il sait les choisir ses pétroleuses
Et nous et nous et nous ......
Nous nous sortons péniblement d'un ridicule confinement qui a fichu en l'air le reste de notre pauvre économie, et nous écoutons sans trop y croire le catéchisme de ces bateleurs de foires qui nous promettent que demain ne sera plus comme hier
Tout en continuant à agiter la peur , ce qui leur donne encore un peu de temps pour manipuler les chiffres, faire passer des lois liberticides, faire avaler au bon peuple que tout ce qui est fait est pour leur bien
Et il va aller voter le petit peuple, bien sagement , comme on lui demande, avec masques et gants ,sans se révolter en donnant un blanc seing à ceux qui va les laminer dans quelques semaines avec des cartes de pôle emploi
Je désespère de ce peuple, de ce pays, mon beau et fier pays, devenu la serpillère d'une bande de bons à rien qui s'essuient les pieds dessus tout en se partageant le foin des ânes