Quand je vois tous ces pauvres ères courir entre les frontières, les barbelés, tenant leurs petits gosses qui dans les bras, qui sur les épaules, essayant de ne pas se perdre les uns les autres
Il est certain que ça rappelle des trucs pas très sains d'il y a quelques décennies
Mon grand père a fait parti de ces migrants
Ses parents ont fuit les pogroms dans ce qui est aujourd'hui l'Ukraine mais qui était seulement la Russie pas encore socialiste au début du 20 ème siècle
Il en parlait parfois, de son effroi, des pleurs qu'il fallait étouffer chez les petits pour ne pas que les passeurs vous tuent en cours de chemin, l'argent et les bijoux cachés dans les jupons de sa mère pour payer les passeurs, l'arrivée en France, épuisés, la prise en charge par la communauté dans le Marais, qui, à l'époque, n'était pas ce ramassis de bobos friqués , le boulot, dès le lendemain, pas de temps à perdre, il fallait gagner sa vie
Oui, tout cela, je connais et c'est peut-être pour ça que je regarde les images avec peine et compassion
Reste le reste.......
Les Ritals sont arrivés, je m'en souviens, mon père avait à l'usine des bons copains qui passaient discuter à la maison , ils ne nous obligeaient pas à bouffer des pâtes, les femmes allaient à la messe, les mecs au bistrot, ça discutait dur politique, ça tapait sur la table, mais bon, c'était des gens comme nous
Quand les Polacs se sont ramenés, ils ont rejoint les mines, les usines, pas de temps à perdre, les femmes rejoignaient l'Église les gars le bistrot, ils étaient pas toujours d'accords, ça discutait ferme autour des syndiqués, ça tapait sur la table, mais les grandes réunions se faisaient autour des pâtes des Italiennes et des zakouski des Polonaises et du vin de Touraine que tirait mon père dans ses fûts à la cave
Il y avait aussi les réfugiés Espagnols, c'était la même chose, on est passé à la paella certains jours, mais il y avait toujours les pâtes des Italiennes, les zakouskis des polonaises et les discutions étaient toujours enflammées et arrosées
Quand aux Portugais, c'était pareil, sauf que la morue, je me souviens, les hommes, c'était pas du poisson quand ils en parlaient, au grand dam des femmes qui se récriaient de tant de bétises mais en riant sous cape
Et puis les arabes sont venus, à l'usine, ça allait, ils étaient un peu paumés, certains avaient fait la guerre d'Algerie, d'autres avaient frayés avec le FLN, mais parfois ils rejoignaient les gars au bistrot et les femmes, timidement, venaient parler avec ces pipelettes d'italiennes, de Polonaises et de Françaises, de portugaise, d'espagnoles,
il y avait de grandes tablées, ça faisait de bons charivari les soirs d'été dans la rue devant la maison , beaucoup de mômes à l’époque il n'y avait pas la pilule et les pères savaient distribuer des coups de pieds dans le cul quand c'était utile sans chercher à savoir qui était qui
Personne ne parlait du halal, du cachère, de la synagogue où de la mosquée
Je ne sais pas quand tout à basculé
Dans mon quartier que je ne reconnais pas, tout est devenu halal où cachère
Les bonnes femmes sont voilées des pieds à la tête et on peut voir de plus en plus de toutes petites filles également enfermées dans ces saloperies de burqa, sans doute pour qu'elles aussi ne donnent pas d'envies sexuelles au gros cons en djellaba et baskets
Et c'est là où je veux en venir ( enfin ,oui, je sais...)
Tous ces pauvres gens qui arrivent sont en majorité musulmans, ils vont donc continuer à vivre comme chez eux ......mais CHEZ NOUS !
Moi je veux bien qu'on les accueillent, d'ailleurs, ils ne nous laissent pas les choix, mais on pourrait se poser la question de leur intégration
Ils sont déjà 6 millions en France, on va s'en prendre un million supplémentaire, ne nous faisons pas d’illusions
Saurons nous protéger nos traditions, protéger la France éternelle, celle qui est accueillante à condition qu'on la respecte, qui est solidaire à condition que ce soit équitable et pas toujours tout pour les mêmes, libre si on respecte sa liberté de pensée, de parler, de s'exprimer, fraternelle si on sait où sont les limites
Nos enfants sont pour l'instant embrigadés par une bande de furieux petits Robespierre qui ne rêvent que de nous faire passer pour des racistes, des sales réacs, des fachos refusant les autres alors que la majorité est simplement inquiète des conséquences
Si un jour, le peuple de France en a marre de se faire insulter, imposer ce qu'il ne veut pas, les conséquences pourraient être dramatiques