Les habitants de Louveciennes, commune plutôt chic de la banlieue ouest, ont appris, par une " indiscrétion " qu'un terrain allait accueillir un centre pour les migrants en limite de Rocquencourt, tout aussi chic endroit
Personne, pas même le Maire, n'a été informé de l'arrivée en Novembre d'au moins 200 migrants, voir plus si affinités
Le préfet et le sous préfet ont préféré partir aux champs plutôt que d'affronter la population , pas très satisfaite et qui aurait bien dit 2 mots en particuliers à ces justement particuliers
Ils avaient dit " pas en Île de France ni en Corse
Louveciennes n'étant pas en Alaska, à la place des Corses, je surveillerais la frontière, le Préfet et le sous-préfet
Tout ceci devient une habitude, on colle les migrants Parisiens où Calaisiens dans des bus, et hop , vers les lieux choisis en n'informant surtout pas la population
Donc, à Louveciennes, ils se sont renseigné, vu que le terrain de 24 hectares, ancien pôle Bull, appartient à une célèbre compagnie de promotion parisienne, Unibail-Rodamco
Et il parait......
Et il se dit que le promoteur aurait négocié directement avec la mairie de Paris un échange très fructueux pour les 2 parties : tu me file ton terrain pour que j'installe un grosse poignée de migrants et en échange, je te file le permis de construire une tour rapido- pronto
Ni vu ni connu .....
C'est beau les affaires bien négociées
Si vous voulez le fond de ma pensée, même si vous voulez pas d'ailleurs, elle est très politiquement incorrecte je vous préviens
Je trouve très bien cette affaire de refiler les migrants un peu partout , dans les endroits chics en plus, ça réveillera peut-être enfin les Français, qui jusqu'à présent; voyaient ça de loin, traitaient même, le cas échéant, de racistes ces affreux de Calais où de Paris qui refusaient d'être envahis
Je vous pari même qu'on va voir des affiliés au PS où au PC, voir même chez le Mélenchon, défendre leurs prés carrés avec force et convictions : pas de ça chez nous .....
C'est facile de loin, mais si d'un seul coup, ça les concernent, qu'ils soient eux aussi confrontés au problème, les réactions seront sans nul doute bien différentes et les populations pourraient enfin aller secouer les puces des députés-sénateurs
Tiens, en parlant de profiteurs et de prendre les citoyens pour des cons , ces messieurs viennent d'accorder une somme somptueuse aux retraités au minimum vieillesse : 0,80 centimes d'augmentation par mois, même pas le prix d'une baguette
N'oubliez pas de voter qu'ils disent
petits arrangements entre amis... comme d'hab !
RépondreSupprimerje me souviens que dans un village de ma banlieue ouest il y a eu des "personnes" (celles qui étaient à Vincennes il fut un temps) y ont été déplacées... elles ne s't sont pas du tout plus et ont tout fait pour très vite rejoindre Paris... les transports en commun parfois aléatoires et longuets très peu pour eux !
C'est le problème, ils ne veulent pas rester là où on les envoient et reviennent sur Paris systématiquement ils ont des exigences que nous n'oserions même pas soumettre !
Supprimerbises et bonne jornée
Il faut vraiment être abruti ou être d'une mauvaise foi sans borne pour ne croire quelque chose que lorsqu'on y est directement confronté, non ? A moins, aussi, d'être titulaire d'une bonne dose d'égoïsme, mais quand on est confronté à un tel problème, on risque fort d'être impacté, soi-même, à plus ou moins long terme. Enfin, ces "métastases" (pardon pour la métaphore) passeront, peut-être aussi, plus facilement (l'histoire de la grenouille...), c'est du moins ce que doivent penser nos "dirigeants".
RépondreSupprimerBises, chère Danielle.
Gilles
NB : Excuses pour le "merdalors" de ma dernière intervention, le reste du com a sauté ! pas grave.
la confrontation aura lieu de toute façon, même si les gens ne veulent pas regarder les magouilles des dirigeants
Supprimerbise mon cher Gilles pour vous 2
Aucune pudeur! Les migrants deviendraient une monnaie d'échange dans les magouilles immobilières?
RépondreSupprimerrien ne les arrêtent du moment qu'ils peuvent servir leurs intérêts, le peuple, ils s'en foutent
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