dimanche 18 décembre 2016

LA DIAGONALE DES FOUS


Ce midi il y avait un entretien entre des journalistes et un homme calme et pondéré,  Monsieur Chartier, qui venait parler du programme de Fillon

Je les écoutais d'une oreille distraite

Au bout d'un moment, ça m'a un peu énervée, le pauvre gars n'arrivait pas à finir une phrase sans que les gougnafiers d'en face, hargneux comme des roquets ( et c'est insulter le roquets ) ne la ramène

C'est ça qui est épuisant dans les interviews politiques, ils ont tous le même défaut, que ce soit  El Krief, Mazerolle, Elkabach où une autre de ces vedettes en papier mâché, pas un pour relever l'autre

Et les femelles du genre sont sans doute les pires teignes  

Ils  où elles croient se montrer à la hauteur en aboyant phrases après phrases sans laisser l' invité dérouler une explication  jusqu'au bout de son idée

Surtout si le gars est appointé à droite, alors là, c'est le festival,  ça peut même friser les insultes pour certains

Moi, ça me donne envie de distribuer des baffes, je les trouvent bien patients les gens, très peu  pour avoir le culot d'un certain Marchais " taisez-vous Elkabach"  

Petite récompense ce midi, Jérôme Chartier, au bout d'un moment, force la voix et dit au malappris en face " vous cherchez à caricaturer ce que je dit "

Et l'autre de répondre " ben oui, j'suis journaliste "

Ca résume bien la profession non ?

Avec la primaire qui commence, nous allons être abreuvés de discours et de discutions jusqu'à plus soif , d'analyses de pseudos analystes, de comptes rendus de pseudos spécialistes, enfin de blabla de gens qui se croient importants

La diagonale des fous va démarrer après les fêtes, accrochez vous


Résultat d’images pour LES FOUS EN POLITIQUE HUMOUR




11 commentaires:

  1. " ben oui, je suis journaliste ", j avais cru l entendre mais tu confirmes ! journaliste, quel beau métier ! Albert Londres doit se retourner dans sa tombe.

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    1. ça m'a déclenché une crise de fou rire ! quel con !

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  2. Ils peuvent se permettre toutes les impolitesses, discourtoisies, grossièretés puisqu'ils ont en face d'eux un nauséabond. Au contraire, ils donnent ainsi un gage d'appartenance au Camp du Bien, ils rassurent leurs confrères tout aussi formatés qu'eux (87% des élèves des écoles de journalisme disent voter à gauche). Et la brochette des mégères (El Krief, Malherbe, Salamé...) doit, en plus de couper la parole, "mettre le ton", scander façon CGT et déraper dans les aigus hystériques.
    http://www.ojim.fr/le-vote-des-journalistes-un-demi-secret-mal-garde/

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    1. je me demande d'ailleurs si les bonnes femmes ne sont pas les plus insupportables, en tous les cas elles m'insupportent !

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  3. je partage ton agacement. Les "invités" (en fait des gens qui font des pieds et des mains pour passer à la télé) se retrouvent face aux journalistes comme devant un tribunal. Les accusations pleuvent et on leur demande de se défendre tout en les empêchant de parler. je me souviens d'une phrase de Bayrou au cours d'une de ces séances où il avait dit à un journaliste: "Ne prenez pas vos questions pour mes réponses".

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    1. hélas, très peu des invités se rebellent sans doute parce qu'ils ont toujours quelques chose " à vendre " mais quelle lâcheté face à ces petits dictateurs

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  4. tout doux avec les uns et aboyeur avec les autres... la seule vérité dans le journal c'est la date c'est pas toi qui disait ça ?

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    1. oui, je relevai une phrase de Coluche et il avait déjà raison !

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  5. Charmante perspective, merci de le rappeler!
    Gros bisous.

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  6. Une seule solution viable : Ne pas écouter ce genre d'émission ! Pour ma part, c'est fait depuis (très) longtemps, j'y ajoute les infos TV et autres débats. Quel calme et puis, s'énerver, et s'énerver pour rien d'ailleurs, c'est mauvais pour le cœur !
    Bises, chère Danielle.
    Gilles

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  7. Faire le "Buzz", voilà le but de ces journalistes gauchos-cocos, et il y a longtemps que ça dure et ne nous faisons pas d'illusion, après les "érections" de mai, on continuera avec les mêmes qui auront vite changé de costard ou avec des nouveaux qui seront aux ordres pour cirer les pompes en nous serinant avant chaque pause de "putain de saloperie de merde de publicité": " RESTEZ AVEC NOUS ", comme si l'on n'est pas assez intelligent (même avec deux neurones), pour choisir ce que l'on veut se farcir.
    Bisous anti pub...!

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