Hier c'était le déjeuner habituel des blogueurs du coin
Nous avions décidé d'aller chez Walczak dans le 15 ème
C'est le seul restaurant où il n'y a pas de clenche à la porte, il faut frapper , si vous êtes connu, on vous ouvre, sinon ....ben c'est dommage !
Inutile de vous dire que l'endroit est plutôt bon enfant, l'ambiance chaude et parfois bruyante, c'était le cas hier et ce n'était pas nous les plus dissipés même si on a pas donné notre part
Il faut dire aussi que si voulez boire un coup, vous allez chercher les bouteilles derrière le bar, si vous voulez manger, vous allez vous servir, pour le dessert la bouteille de rhum arrive avec les glaces et salade de fruits et le café circule tranquille tant qu'il y en a besoin
A la fin, vers 16H le patron vous rappelle que le dîner n'est pas compris qu'il serait temps de donner les 25 euros , montant de ces agapes, ce qu'on fait avec plaisir, vu qu'on a bien bu et bien rigolé et qu'entre-temps, on avait aussi mangé, que du pas halal
D'ailleurs, voici quelques photos
Marc, la plume à gratter , le Père Noël vient de lui offrir une fleur....si, si, je vous assure, le Père Noël existe, on l'a bien vu
Notre ami le plouc , tenant fermement les bouteilles, on ne sais jamais ce qui peut arriver ( surtout avec le Père Noël dans le coin )
Mike, de la gauche m'a tuer , avec, mais vous nous avez reconnus
Et le reste de la tablée , Jacques Benillouche, Le Grincheux Grave, Remi Usseil, Le Bedeau , Corto, et le petit Celtique de Banlieue
Jean Louis Walczak , le patron, avec son ami , enfants du quartier et de la communale du coin, 2 anciens poulbots qui ont toujours un tas de truc à se raconter
Tout là-haut perché, les gants et les chaussures de l'ancien grand champion qu'a été le boxeur Yanek Walczak
Au mur, les photos des acteurs, sportifs, chanteurs qui ont fréquenté l'endroit où qui le fréquentent encore, comme JP Belmondo
C'est un endroit rare à Paris, tant pour les prix pratiqués que pour l'ambiance festive, joyeuse et bon enfant, une vraie cure de jouvence, un voyage dans la France que nous aimons
Et puisque nous sommes en période de cadeaux, ne pas oublier les merveilleux livres de notre ami Remi Usseil
Et le dernier sorti, Rolandin, une pette merveille
Grrrr, j'y étais pas et j'aurais aimé, et ce billet me le fait regretter encore plus amèrement. Autant pour la tablée que pour le lieu et l'ambiance. Bises et amitiés.
RépondreSupprimerpeut être pourras-tu être de la prochaine, début d'année si tu peut t'organiser, en attendant grosses bises
SupprimerUn vrai bon moment !
RépondreSupprimerbisous
sûr mon gars :)
Supprimersi un jour ça vous dit nous y avons nos entrées....
RépondreSupprimerMerci pour les photos,vous avez pas une vie facile!!!
RépondreSupprimerAmitiés. J-J S
ah là là ! m'en parlez pas !! amicalement
SupprimerQuand je te dis que le XV ème c'est tout bon ! je l'ai bien fréquenté (pas cet endroit hélas) toutes mes 27 premières années te dire si ça fait un bail
RépondreSupprimerun quartier comme un village entre Vaugirard et Grenelle, j'en ai des fourmis dans les jambes en y pensant, mais je crois que je ne reconnaîtrais plus
l'homoconjointus a été élevé aussi dans ce quartier et il allait à l'école rue de Cherbourg, avec le patron du resto, lui aussi aime ce quartier qui est aussi pas mal agréable il faut le dire, enfin pas partout non plus ! moi, je suis du 19 eme, c'est pas pareil !bises du jour
SupprimerSacrée équipe!
RépondreSupprimerGros bisous.
et comment ! des vrais de vrais !
Supprimergros bisous
Une bien belle brochette d'affreux.
RépondreSupprimerPour l'adresse, je confirme, c'est que du bon. Un petit bout de la France d'avant, celle où il faisait bon vivre, où les quartiers de Paname étaient autant de villages où tout le monde se connaissait.
Et tout ça nous le devons à l'homoconjointus qui nous a fait découvrir une perle. Je recommande la lecture du livre sur cet établissement. Une plongée intéressante et ô combien vivante dans l'histoire du quartier, et de la famille qui lui a donné son âme.
Ravi de voir que vous avez remis ça, une belle compagnie de happy few.
nous avons bien regretté ton absence mais tu étais présent par la pensée, on y retourneras quand tu sortiras de tes neiges
Supprimerbises