Je viens de finir un livre très drôle
ça se passe dans les années 50, dans un quartier de Paris que je connais bien, tout proche de chez moi ,
ça ressemble un peu à la guerre des boutons, avec des mouflets typiquement parigots, des mômes de nos quartiers , malins, frondeurs
C'était une autre époque, les parents savaient encore se faire respecter, même si c'était à coups de pieds dans le cul et de torgnoles annoncées et pas toujours filées
L'institutrice aussi savait y faire et donnaient les bonnes voies de respect et de savoir
Les concierges étaient encore des bignoles et pas des techniciennes de gardiennage....
Elles savaient se servir de leur balai pas seulement pour nettoyer
J'ai reconnu aussi dans l'écriture, ce foutu accent parisien que je me traîne et dont j'ai jamais pu me débarrasser !
Évidement, tout cela a bien changé, j'ai un peu de nostalgie de cette époque , peut-être parce que c'était ma jeunesse et que les vieilles radotent.....
Oh ! ce bouquin est à lire ! ; est-il encore en vente ?.
RépondreSupprimerNos torgnoles étaient filées avant même d'être annoncées !.
Ton accent est celui de ma grand'mère et souvent mon frère et moi lui demandions : "Pourquoi tu ne parles pas comme nous, Mémère" ? -"Vous, vous êtes des boches de l'Est" ! et vlan...Elle a gardé cet accent, bien plus prononcé que le tien, jusqu'à son dernière souffle (soit 44 ans passés en Lorraine)
J'ai hérité de mes ancêtres ce côté "Poulbot" très marqué depuis l'enfance, et cela ne s'arrange pas en viellissant !
je suppose qu'on peut le trouver chez amazon, je l'ai dégotté à la bibliothéque et j'ai bien rigolé ! bisous à vous 2
SupprimerRhoooo les vieilles radotent!!!!
RépondreSupprimerNon rassure-toi ou alors nous radotons toutes!! Moi aussi je suis nostalgique de ce temps là.
De mon côté je viens de finir la vie de Yersin: Peste et choléra de Patrick Deville. Très intéressant.
Bisous
teut être bien qu'on radotent en coeur ! mais on s'en B.... ça fait du bien !
SupprimerC'est vrai que tout bon parisien de plus de 40 ans ne peut qu'avoir la nostalgie des bignoles. Dans la rue où nous vivions il y avait même quelques bâtiments qui avaient encore conservé le fameux cordon qu'on devait tirer pour pouvoir entrer passé 22 heures.
RépondreSupprimerdes bignoles et du reste, Paris à perdu son âme depuis que notre " maire" en a fait un champ de foire
SupprimerEn fait, elle a perdu son âme depuis que ce crétin de Giscard a recréé le poste de maire de Paris pour son copain d'Ornano, cette buse cosmique. Poste qui a été raflé par Chirac qui a doucement commencé le travail de sape, réussissant le tour de force de vide la ville de sa composante populaire. Delanouille a juste passé le braquet supérieur.
Supprimerje note...ce sont des années où j'étais enfant à Paris ...ça devrait me rajeunir et plaire à l'éxilée de grande banlieue...
RépondreSupprimermerci pour ton passage
bienvenue ici, moi aussi ça m'a rappelé mon enfance, sauf que je suis toujours dans mon quartier de naissance,
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