mardi 10 décembre 2013

UN MÉLANGE DE BONNE CHOSE ET DE TRISTESSE


J'ai fait un autre abat jour et cette fois-ci toute seule mais grâce aux bons conseils de ma copinaute Béatrice, j'ai pas trop mal réussi 




Il m'en reste 2 à faire, j'ai fait quelques erreurs sur celui-ci, je saurai ne pas les faire sur les autres ! 

c'est ça l'apprentissage, enfin, je ne suis pas mécontente d'être arrivée au bout tout de même 


Je veux aussi , ce soir, penser à 2 petits gars qui ont laissé leurs jeunes vies hier dans un bled où ils n'avaient rien à faire et je pense au chagrin de leurs familles si près de Noël

Ils ont servi leur drapeau dans une guerre civile qui ne nous concerne pas

Ce pays n'a pas su, depuis des décennies se construire après l'indépendance 

Il  serait bon tout de même que notre grand chef de guerre arrête de jouer avec la vie de nos soldats dans des conflits qui ne sont plus de notre ressort 

Il avait dit que la france-afrique et ses magouilles c'était terminé, donc, c'est  terminé 

Que Dieu ai ces 2 enfants en sa Sainte Garde 





11 commentaires:

  1. je suis très triste pour leur famille,
    parler de guerre c'est toujours parler de morts il ne faut pas l'oublier...et là ce ne sont plus des mots mais des maux trop douloureux pour les parents et les enfants.

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    1. nous avons un va-t-en-guerre qui joue avec la vie de nos soldats dans des conflits à la con
      bonne journée

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  2. Morts pour la France ou morts pour la Centrafrique ?

    bisous

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    1. mort pour la fausse gloire du général en chef !
      bisous

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  3. Certains diront que c'étaient des soldats et qu'ils connaissaient les risques. D'accord, mais tout dépend du conflit ! S'il s'agit de défendre le pays ou sauver des populations civiles menacées de carnage, c'est une chose, faire la guerre à crédit pour des raisons politiques ou stratégiques en est une autre. Nous n'arrêtons pas de nous engager dans des conflits plus ou moins perdus d'avance, nous étions prêts à nous lancer dans l'aventure Syrienne, et pour "Centre Afrique", il me semble évident que les intérêts "Areva" y sont pour beaucoup ! Tout cela est affligeant...
    Pour tout autre chose, félicitations pour votre abat-jour...
    Amitiés. Gilles

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    1. il fait n'importe quoi le grand stratège pour sa petite gloire perso, histoire de se faire applaudir par des populations puisqu'ici il se fait huer !
      vous allez bien ?
      je pense bien à vous pour votre peine récente
      amitié

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  4. C'est ce que je viens de répondre à un blogueur ! Les honneurs posthumes aux sacrifiés me font gerber. Que nos gouvernants aillent se battre sur le terrain et l'on verra! Autrement ton abat-jour me plait bien. Bises et bon mardi. ZAZA

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    1. c'est du grand n'importe quoi ! la peau des autres est toujours plus facile à perdre hein ! il peut aller pavaner l'autre branquignol, il les a envoyé au massacre les jeunes gars
      bisous ma belle

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  5. Merdum, commentaire passé à la trappe (à moins que la police des socialos-cocos) ait fait le ménage.
    En gros je disais que, hélas ce ne seront pas les derniers à se faire touer la peau ou découper à la machette en petits morceaux. Ce n'est pas Ah! Rêvons qu'il nous faut dire mais AREVA qui tire les ficelles, et ce n'est pas prêt de s'arrêter. Il suffit de regarder notre Guimauve le conquérant qui depuis qu'il est aux affaires revendique le rôle de Pinocchio, rôle qui lui va à merveille d'autant que son nez s'allonge proportionnellement à son tour de taille. De source confidentielle (venant du ministère de la culture) Miss Filipetti à contacté Botero pour revoir son sosie en vue du remplacement de celui famélique du musée Grévin...!
    Bisous z'écoeurés...!

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  6. Oui, qu'est-ce qu'on peut dire...qu'ils reposent en paix, je crois que ce qu'ils faisaient est nécessaire mais je crains que leur mission n'ait un peu manqué de préparation. La République a toujours su faire tuer ses enfants, sauf qu'aujourd'hui elle n'a même plus les moyens de ses ambitions.
    Gros bisous.

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  7. un proche va partir dans ce p.. de pays en mission, comment ne pas penser au pire après çà

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