Depuis que le beau temps est revenu, je regardais mes fenêtres avec aigreur
Faudrait s'y coller tout de même, elles sont sales
La pluie, la poussière, la neige, ça donne un mélange plutôt crasseux
Mais voilà, c'est une vraie galère, j'aime pas trop les faire et comble de malchance, ma Maria non plus
Maria, elle a des idées et hier, elle me dit qu'elle s'est acheté un appareil pour nettoyer les vitres et que je ferai bien d'en faire autant, histoire de moins s'enquiquiner
Allez, hop, je saute le pas, en ligne, je me trouve un Karcher en promotion, sans fil, qui me semble tout a fait idéal, et ce matin, je l'avais en livraison
Je l'ai aussitôt essayé, génial, pas de traces qui demandent des heures à effacer et un rouleau entier de salopin et l'horreur au moindre rayon de soleil
Du coup, toutes les fenêtres de la maison y sont passées dans l'élan
Mais pourquoi j'ai attendu si longtemps avant d'acheter ce truc , pour moi cette marque ( ou ses concurrents ) c'était fait pour les gens avec des maisons, des jardins, enfin, des gros outillages
Je n'ai qu'un mot à dire, merci Monsieur Karcher, ça c'est du top
Et ça marche aussi sur les lunettes?
RépondreSupprimerben oui, je vais essayer...:)
SupprimerQuand j ai lu le titre de ton billet, j'ai cru que tu te proposais de karchérrisé tous les migrants qui sont au bord du canal près de chez vous. Au lieu de cela, tu nous parles de tes carreaux !!! Achtung, tu nauséabondes moins...
RépondreSupprimeril est trop petit mon engin, mais si tu me fournis 2 canons à eau je te garanti que ça fera pas de plis !
SupprimerBen me voila revenu et je me retrouve pas loin du "cercle polaire", ça va être dur d'attendre trois semaines avant ma nouvelle escapade. Pas question de "faire les carreaux" avec la flotte et le vent...je retourne sous la couette, les "petits vieux" ça n'aime que le soleil....na!!!
RépondreSupprimerBises, chère Danielle.
Gilles
c'est les Saints de glace je crois, ça va aller mieux dans quelques jours , faut un peu d'eau aussi sinon les paysans vont hurler !
Supprimerbon retour et bises mon cher Gilles